samedi 26 juin 2010

A SIGNALER DEUX ARTICLES PARUS
DANS Le Canard enchaîné du mercredi
16 juin 2010 :
- un article intitulé :

"Levez-vous otages désirés !"
(à propos de la captivité d'Hervé Ghesquière

et Stéphane Taponier, depuis plus de 170
jours !) où l'on peut lire : "...Kouchner avait
affirmé que "en ce qui concerne des
enlèvements aussi crapuleux, les délais
d'attente [n'étaient] pas excessifs".
Une remarque qui est allée droit au coeur des

familles. Et avait sûrement interpellé aussi
celle de l'agent de la DGSE Denis Allex,
détenu en Somalie depuis onze mois..." ;
- un article intitulé :

"Léger oubli sur les retraites" :
où l'on trouve les termes suivants :

"...Les sarkozystes ont juste oublié un
détail : les 4 millions de chômeurs. Ceux
qui pointent, désespèrent, tournent en rond.
Les jeunes surtout, dont le taux de chômage

a récemment batttu un record historique :
29 %. Ils ne cotiseront pas pour les retraités
de demain. A quoi sert de forcer les plus
vieux à bosser si de plus en plus de jeunes
se retrouvent au chômage et incapables de
payer les retraites des futurs vieux...".

jeudi 17 juin 2010

LA LIBERTE D'EXPRESSION
A L'EPREUVE DES FAITS
Le journal Le Monde bientôt
rédigé à l'Elysée ?
Nous conseillons bien vivement aux citoyens
de se reporter à un article du journal "Le Canard
enchaîné", paru dans sa livraison du mercredi 16
juin 2010, écrit par Jean-Luc Porquet, et intitulé
"Bientôt, la fin d'un "Monde"...", relatif à
l'intervention de l'Elysée dans la recapitalisation
du journal "Le Monde".
On relèvera, notamment, les propos suivants :
"Dans cet Etat là, on ne peut rien reprocher au
Président. Il se croit tout permis. Il se permet tout.
Personne ou presque ne moufte : silence
ébouriffant des partis, des philosophes
autoproclamés, des postillonneurs professionnels,
des lanceurs de grands débats bidons... Bref, ça se
voit comme le nez au milieu de la figure : Sarkozy
prépare à sa manière le terrain pour sa réélection
de 2012. Pour lui, un bon média est un média aux
ordres. Qu'en démocratie la presse soit un
contre-pouvoir : impensable ! Qu'une rédaction
soit indépendante : intolérable ! Que les journalistes
du "Monde", qui ont eu le toupet d'évincer en 2007
son bon ami Alain Minc, alors président du conseil
de surveillance, décident aujourd'hui de choisir à
qui ils vont confier leur journal : bolchevik !...".
Pourtant, qui avait promis : "Je serai le président
d'un Etat impartial" ?